Un vieux poème que j'ai écrit il y a quelques années de ça - un lendemain de biture XD. Quelqu'un m'y a fait repensé ce soir et je rigole toute seule en me rappelant les circonstances qui l'ont inspiré. J'ai eu envie de le partager avec vous du coup.
Ô lendemains de jour de fête
Fi de cotillons et de paillettes
Saturday night s'est enfui avec tous ses atours
Ne reste que la fièvre au point du jour
Au bord de vos lèvres closes
Votre cœur se bat contre son propre mal
Et parce qu'il sait fort bien qui en est la cause
souffrez en stoïquement le battement cérébral
La quête du Graal y prend l'étrange tournure
D'une plongée au cœur d'un monde de silence
Vous ne trinquerez au terme de l'aventure
Que d'une aspirine à l'amère effervescence
Point de pierre philosophale
Ou d'or au bout des doigts
Le message dans la bouteille, Perceval
Était "gueule de bois"
- Spoiler:
Sujet: Méditations post-éthyliques 
Ven 11 Jan - 22:50
(et teeeellement vrai !).
