Une sale gamine; un vilain petit canard; une merveilleuse donzelle : la princesse Madouc est à l'âge où l'on grandit vite. Et elle fait de mémorables équipées avec sire Pompon, le jeune palefrenier. Alors le roi Casmir fronce le sourcil.
Casmir, c'est le grand-père de Madouc. Du moins le croit-elle jusqu'au jour où elle découvre la vérité : sa mère est une fée malicieuse, et son père... un chevalier ? un rustre ? un monstre ? Pour avoir enfin une identité, elle part en quête de ce père inconnu. En compagnie de sire Pompon.
Elle ne pense pas à celui dont elle a pris la place (bien involontairement) : le petit-fils perdu de Casmir qui, selon un présage, régnera un jour sur les Isles Anciennes. Et justement Casmir convoite ce trône pour lui-même. S'il retrouvait l'importun, il pourrait lui faire un mauvais parti.
Est-ce tout ? Non. Il y a aussi la perle verte, enfermée dans une bouteille. Et le Saint Graal. Et la ville d'Ys...
Mon avis :
Mon préféré du cycle ! Non seulement parce que la fin m'a beaucoup plue mais surtout pour Madouc, un de mes personnages préférés en fantasy. Elle est vraiment excellente et j'ai beaucoup ri de toutes ses facéties, surtout en face de Casmir ! C'est une conclusion comme je les aime