Zahila Initié
Messages : 1681 Date d'inscription : 02/09/2009 Age : 37 Localisation : Toulouse
| Sujet: Silverberg Robert - L'homme dans le labyrinthe Mar 9 Fév - 15:03 | |
| Synopsis : « Muller vivait depuis neuf ans dans le labyrinthe. Maintenant, il le connaissait bien. Il savait ses pièges, ses méandres, ses embranchements trompeurs, ses trappes mortelles. Depuis le temps, il avait fini par se familiariser avec cet édifice de la dimension d'une ville, sinon avec la situation qui l'avait conduit à y chercher refuge. »Tous les hommes qui avaient tenté de pénétrer dans le labyrinthe de Lemnos avant Muller étaient morts d'une façon atroce. Tous ceux qui avaient essayé de l'y rejoindre par la suite avaient été massacrés. Aujourd'hui, Ned Rawlins a reçu l'ordre de ramener Muller sur la Terre, sa planète natale. Qui, neuf ans auparavant, l'a impitoyablement chassé...
Mon avis : Ça commençait bien. Franchement bien, même. Un héros mystérieux, affligé d'une maladie dont on ne sait rien, qui s'est enfermé de lui-même dans un labyrinthe étrange, dernier vestige d'une civilisation disparue. Sauf que la lutte des deux personnes chargées de le ramener sur Terre pour pénétrer dans le labyrinthe est peut-être intéressante au début, mais finit par devenir lassante. Les tergiversations de Rawlins aussi. Et on apprend bien tard pourquoi ils ont besoin de Muller, et sa « mission » est expédiée en quelques pages, on ne sait pas si elle a réussi ou non, bref, la fin donne sérieusement l'impression d'être bâclée. Et pourtant ça se lit bien, je pense même que je l'aurais lu d'une traite si ce n'avait pas été une lecture du Cercle d'Atuan, donc avec des pauses pré-établies pour discuter. Avis mitigé, donc.
Dernière édition par Zahila le Jeu 4 Déc - 14:25, édité 1 fois | |
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scifi Gardienne
Messages : 8563 Date d'inscription : 31/08/2009
| Sujet: Re: Silverberg Robert - L'homme dans le labyrinthe Mar 9 Fév - 16:40 | |
| J'aime beaucoup Silverberg, mais c'est vrai que je suis tombé sur quelques-unes de ses œuvres qui étaient un peu telles que tu décris celle-là, un tantinet faiblardes et bâclées sur la fin. Je le note quand même, si je le trouve d'occasion sait-on jamais. | |
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