Quatrième de couverture:Au coeur de la forêt d'Eld, dans une grande maison blanche, une magicienne aux cheveux pâles rêvait d'un oiseau aux ailes de cristal. Elle s'appelait Sybel; elle était la fille et petite-fille de magiciens, et douée de leurs talents.
Un jour, Coren, un chevalier de Sirle, vint lui confier l'enfant Tamlorn, héritier de deux royaumes, et menacé de mort par son père le roi Drede, furieux d'avoir été trompé par sa femme.
Elle l'éleva avec amour, au milieu de ses bêtes fantastiques : Cyrin le sangleir poseur d'énigmes, Gyld le dragon, Gules le lion, Ter le faucon aux yeux bleus, Moriah le chat noir jetteur de sorts ... qu'elle avait appelés auprès d'elle par magie.
Mais son bonheur ne pouvait durer, se leva le vent de la guerre et de la haine. Tamlorn lui fut enlevé, et elle dut choisir, dispenser la peur et le mort à son tour, au risque de se perdre.
Passant de son monde de paix au monde de la guerre, de la solitude à la quête d'un amour perdu, elle quitta son manoir à la poursuite d'un impossible rêve, elle devint celle par qui la mort surgit, la faiseuse d'empires et de guerres, jusqu'à trouver enfin l'animal fantastique capable de ramener la paix.
Mon avis:Je viens de le relire pour en faire la critique et ce qui me vient directement à l'esprit est : Waouh
Quel livre génial.
On se retrouve avec des animaux incroyables, un monde incroyable avec une magie assez particulière.
On suit dans cette histoire Sybel, femme qui ne ressent pour ainsi dire rien.
Elle finit par découvrir ce qu'est l'amour et ensuite ce qu'est la haine. Elle devra se contrôler afin de ne pas se détruire elle même et détruire ceux qu'elle aime.
On peut dire que, dans ce livre, il n'y a aucune action, mais il n'en a pas besoin, car l'histoire est vraiment très bien montée et le cheminement de l'esprit de Sybel, l'histoire de ses animaux et ce qui arrive autour d'elle nous suffit pour nous forcer à garder ce livre ouvert le plus longtemps possible.
Et les derniers paragraphes du livre.... j'ai adoré^^
Il y a peut être un petit truc que je peux dire: McKillip aurait pu développer un peu plus les animaux de Sybel. Mais si je dis cela, c'est parce que j'adore les créatures magiques.
A lire pour tous les amateurs de fantasy, mais attention, il n'est plus édité