Sherryn Adepte
Messages : 2963 Date d'inscription : 03/09/2009 Age : 37 Localisation : Beh chez moi -^.^-
| Sujet: Hirotaka Kisaragi - Gate T1 Dim 20 Nov - 18:42 | |
| Lorsqu’ils sont tous les quatre frappés par la foudre, Akira, Riki, Shigeru et Kazuya se réveillent à l’hôpital avec une marque étrange sur le corps. Ils découvriront bientôt qu’ils sont désormais détenteurs du pouvoir des Quatre Dieux du Ciel. Ils vont devoir utiliser cette force pour protéger la Terre des créatures démoniaques qui tentent de l’envahir en passant par le Portail… Je suis très impressionnée par cette nouvelle série shôjo qui promet de l’aventure et de l’action avec de beaux mâles exactement comme on aime ! Un graphisme séduisant, des planches dynamiques à la mise en scène claire, et surtout une intrigue qui annonce mystères, combats, amitié et tortures psychologiques, voilà qui se révèle on ne peut plus prometteur ! Le style graphique est très bon, aussi bien dans les traits que dans la mise en scène et en page, et les personnages s’annoncent intéressants avec des caractères bien différenciés et une évolution personnelle pour chacun d’eux. Le coup des éléments et des incontournables Byakko et cie n’est pas d’une grande originalité, mais c’est toujours agréable de plonger dans la culture japonaises et de voir les différentes représentations qu’ils peuvent en faire. Ce premier volume pose le décor et s’attarde sur le début de la relation entre nos protagonistes et leurs hôtes, mais la suite promet de l’aventure, de l’action et des rebondissements. J’attends cela avec impatience. Ce manga est un réel coup de cœur ! Par contre… J’ai éclaté de rire en voyant le nom de la collection dans laquelle l’a insérée Tonkam : « Shônen Girl », autrement dit : « manga pour garçons destiné aux filles ». Ha ha ha ! Le marché français a si bien réussi à dévier le mot « shôjo » de sa signification réelle qu’on n’ose même plus appeler un genre par son nom, eh bien bravo ! On en arrive à des contresens dépourvus de signification qui frisent le ridicule. C’est d’autant plus triste que l’éditeur avait su assumer X de Clamp en tant que shôjo à l’époque. De quoi mourir de rire ou… pleurer. | |
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