Mon avis :
Je suis ravie d’avoir enfin pu découvrir Serge Brussolo.
J’ai décidé de lire ce roman pour deux raisons, tout d’abord pour pouvoir découvrir cet auteur dont j’ai beaucoup entendu parler sur les blogs et forums, ensuite parce que le thème du livre, les Vikings m’attirait beaucoup.
Les vikings…je garde en tête une image sur un livre de l’école primaire lorsque j’étais une écolière qui commencer à rêver grâce aux livres, un magnifique drakkar, à cette époque lointaine il me fascinait…alors forcément la quatrième de couverture ne pouvait que me plaire !
Dés le début du roman j’ai été conquise par l’écriture de l’auteur et pas Marion qui est dés le départ très attachante.
Puis là sous mes yeux un drakkar prend vie. Comme par magie je le vois voguer sur les flots, il prend vie ! C’était vraiment magique ! Dans ce drakkar, des hommes, des barbares n’ayant peur ni de la mort, ni de la douleur et à l’honneur qui dépasse l’imaginable.
Marion l’héroïne, et quel bonheur de voir une femme héroïne d’un tel roman, sera aux yeux de ceux qui l’auront enlevé celle qui a des pouvoirs magiques dont tout le clan a peur et évite. Mais tout n’est pas si simple et c’est un vrai régal pour le lecteur.
L’écriture de l’auteur est vive, il y a assez de détails pour être totalement dans le livre mais juste ce qu’il faut. Il nous conte « la fin » du peuple viking en tant que pilleurs qui sillonnent les mers à la recherche d’esclaves et de richesses. Ils sont sans pitié !
La vie du dernier clan viking, n’étant pas comme tous les autres clans encore converti au christianisme et n’ayant plus du tout le mode de vie qu’ils avaient dans le passé, se déroule au fil des pages
J’ai passé un excellent moment de lecture et j’ai quitté Marion avec un peu de peine, c’est pourquoi je me suis empressée de me procurer « Pèlerins des ténèbres » qui se situe avant « La captive de l’hiver » et où l’on retrouve Marion et bien évidement l’écriture de Serge Brussolo.
Si vous ne connaissez pas encore cet auteur, empressez vous de lire « La captive de l’hiver » qui est fascinant, captivant et d’une écriture fort agréable.