Un matin, le Petit a décrété : je veux mon papa.
Il a repoussé son bol de chocolat et j'ai su, moi, Benjamin Malaussène, frère de famille, que le Petit n'avalerait plus rien tant que je n'aurais pas retrouvé son vrai père. Or ce type était introuvable. Probablement mort, d'ailleurs.
Après deux jours de jeûne le Petit était si transparent qu'on pouvait lire au travers. Mais il repoussait toujours son assiette : je veux mon papa.
Mon avis :
Chaque fois que j'ai refermé un tome de la saga Malaussène, je me suis dit "mais il est encore plus fou que le précédent" et bien celui-là ne déroge pas à la règle, bien au contraire
N'empêche que dans celui-là il a été trés loin
- Spoiler:
le père du Petit est un pesonnage de roman
Trés fort Mr Pennac
En tout cas je me suis régalée bien que ce tome soit extrêmement court.