Présentation de l’éditeur :Et s’il y avait de bonnes raisons pour que cellulaire rime avec enfer ?
1er octobre. Dieu trône au paradis, le marché des changes est stable, les avions à peu près à l’heure et Clayton Riddell, un auteur de bandes dessinées, sur un petit nuage. Il vient de décrocher un contrat et l’avenir lui sourit. Mais en quelque seconde, tout bascule dans l’horreur. La cause ? Un phénomène de destruction que déclenche le téléphone portable. Tous les portables… Et qui va plonger le monde dans le chaos, le carnage et les ténèbres. C’est bien dans les affres de la destruction du monde contemporain par les outils de ce même monde que Stephen King nous plonge ici, dans un récit au rythme effroyable qui ne laisse aucun répit au lecteur avant de le conduire au paroxysme de la terreur. Pourtant, malgré l’apocalypse, Cellulaire nous fait rencontrer des personnages attachants, notamment ceux d’adolescents adeptes de la culture informatique qui séduiront de très nombreux lecteurs.
Avis personnel :J'ai adoré le début : ça démarre sur les chapeaux de roues, on n'a même pas le temps de se poser de questions !! C'est méga trash et marrant à la fois (bon, ok,il n'y a peut-être que moi pour me marrer devant les éructations primaires des siphonnés
)
Mais plus j'avançais et plus je trouvais l'histoire fade...
Comme les personnage auxquels je me suis peu attachée. Surtout Alice, qui m'a gonflé à mort avec sa godasse de bébé.
- Spoiler:
j'avoue avoir éprouvé quand même un peu sympathie à son égard puisque j'ai chialé comme une madeleine à sa mort. Ça m'a beaucoup touché parce que d'une part je ne m'y attendais pas du tout et d'autre part parce que sa mort est lente et atroce.
Bizarrement, je me suis surtout attachée aux personnages secondaires (le directeur et Ray).
Finalement, j'ai pris du plaisir à lire ce roman, je n'ai pas vu les pages défiler et je ne me suis pas ennuyée une seule seconde. Mais je dois dire que je suis restée sur ma faim. Pas à cause de la fin, comme beaucoup de gens mais parce que je pensais que le bouquin était plus consistant que je me l'étais imaginé. J'ai trouvé le tout un peu trop superficiel à mon goût en somme...